La sélection (équilibre et pertinence territoriale) a permis d'élire le Centre hospitalier Epicura (Ath-Baudour-Hornu), la Clinique Saint-Luc (Namur-Bouge), le Centre hospitalier de Mouscron, le Centre hospitalier régional de Huy, Vivalia-Centre hospitalier de l'Ardenne, ainsi qu'un IRM pour la Communauté germanophone, encore à préciser par le gouvernement germanophone.
Ces IRM, d'une valeur d'environ un million d'euros chacun, seront installés d'ici la fin de cette année, selon un communiqué du ministre cdH, qui a pris les arrêtés ministériels nécessaires.

Vivalia a d'ailleurs confirmé l'installation d'un tout nouvel appareil d'imagerie à résonance magnétique (IRM) sur son site du Centre Hospitalier de l'Ardenne de Libramont.

L'IRM permet la réalisation d'environ 8.000 examens médicaux par an.

La Belgique figure dans le peloton de tête des pays recourant aux technologies de diagnostic basées sur l'irradiation, à laquelle une exposition répétée augmente le risque de développement d'un cancer. La charge effective de radiations d'un Belge est ainsi en moyenne 1,5 fois supérieure à celle d'un Français et jusqu'à quatre fois plus qu'un Néerlandais ou un Britannique, selon des statistiques fédérales.

La sélection (équilibre et pertinence territoriale) a permis d'élire le Centre hospitalier Epicura (Ath-Baudour-Hornu), la Clinique Saint-Luc (Namur-Bouge), le Centre hospitalier de Mouscron, le Centre hospitalier régional de Huy, Vivalia-Centre hospitalier de l'Ardenne, ainsi qu'un IRM pour la Communauté germanophone, encore à préciser par le gouvernement germanophone. Ces IRM, d'une valeur d'environ un million d'euros chacun, seront installés d'ici la fin de cette année, selon un communiqué du ministre cdH, qui a pris les arrêtés ministériels nécessaires. Vivalia a d'ailleurs confirmé l'installation d'un tout nouvel appareil d'imagerie à résonance magnétique (IRM) sur son site du Centre Hospitalier de l'Ardenne de Libramont.L'IRM permet la réalisation d'environ 8.000 examens médicaux par an. La Belgique figure dans le peloton de tête des pays recourant aux technologies de diagnostic basées sur l'irradiation, à laquelle une exposition répétée augmente le risque de développement d'un cancer. La charge effective de radiations d'un Belge est ainsi en moyenne 1,5 fois supérieure à celle d'un Français et jusqu'à quatre fois plus qu'un Néerlandais ou un Britannique, selon des statistiques fédérales.