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Pour les opérations et interventions chirurgicales : toute personne programmée a été contactée par Vivalia pour être informée du maintien ou pas de son opération. Cette décision a été prise au cas par cas, en fonction de la situation du patient, en concertation entre médecins/infirmières et le directeur médical ;Pour la radiologie/scintigraphie : tous les examens programmés ont été annulés ;Les prises de sang sont maintenues, mais l'activité des Centres Covid est arrêtée. La médecine d'urgence continue à être assurée." Pour les jours suivants, l'activité médicale sera réévaluée et définie par la Cellule de crise de Vivalia en fonction de l'évolution de la situation. Elle se réunira chaque matin et en urgence, si nécessaire. Les décisions seront prises dans l'intérêt des patients afin d'assurer la meilleure continuité des soins possible ", communique l'hôpital. " Au niveau de l'attaque informatique et de ses conséquences, nos équipes appuyées par des experts extérieurs ont identifié la source d'intrusion et colmaté la brèche. A ce stade, aucune " mine " n'a été découverte. Les équipes travaillent à rétablir la situation afin de redémarrer la structure informatique dans les meilleurs délais, avec les meilleures conditions de sécurité possibles. Cette relance est établie suivant une hiérarchie déterminée selon les priorités fonctionnelles (laboratoires, radiologie, dossiers médicaux. ""La cyberattaque dont nous avons été victime perturbe voire paralyse l'activité d'une partie de nos équipes qui sont privées d'informatique. Vivalia a invité l'ensemble des personnes concernées à être présentes ce lundi pour faire le point avec les chefs de service et se réorganiser ou, le cas échéant, venir en aide à des services/collègues qui en ont besoin", précisait le groupe ce lundi matin.Vivalia remercie ses équipes sur le pont et la solidarité affichée par d'autres hôpitaux qui ont proposé leur aide. Rappelons que la Clinique Saint-Luc de Bouge, le Chwapi, le CHR Haute Senne, la Clinique André Renard ... ont également déjà été attaquées par des pirates informatiques. Ce qui a occasionné dans ces institutions une réduction temporaire de l'activité médicale et une importante mobilisation des équipes informatiques et des secrétariats.