Maggie De Block, ministre de la Santé publique s'est dit " très satisfaite "." Nous pouvons maintenant poursuivre dans cette voie. Le plus important, c'est qu'il n'y a pas d'économies à charge des patients et des dispensateurs de soins ", souligne Maggie De Block, ministre des Affaires sociales et de la Santé publique.

Le montant s'élève à 26.518.320.000 euros. La majorité du Conseil général a approuvé cet objectif.

" Le cadre budgétaire pluriannuel du gouvernement fédéral continuera d'être respecté ", note l'Inami, dans un communiqué court et sibyllin. "Les masses d'indexation prévues (1,45 % pour les secteurs d'honoraires) sont intégralement attribuées. La décision se fonde sur une proposition approuvée par la majorité des organismes assureurs et des dispensateurs de soins le 1er octobre 2018. Elle concrétise les mesures à mettre en oeuvre pour atteindre l'objectif. "

Pour rappel, on attend des " efforts supplémentaires " de 272 millions d'euros dans le secteur pharmaceutique. Les mutuelles, quant à elles, voient leurs compétences relevant des entités fédérées prises en charge par celles-ci et non plus par l'assurance soins de santé (pour un montant de 36,2 millions d'euros).

Ce budget comprend également les recettes des activités de contrôle de l'Inami sur les dispensateurs qui profitent du système ou qui l'utilisent mal pour un montant de 25 millions. La marge économique des pharmaciens a été augmentée de 5,8 millions euros.

Le budget prévoit également le financement de projets spéciaux autour de mHealth (santé mobile). " Les parties prenantes et les utilisateurs feront aussi l'objet d'un monitoring périodique et seront interrogés sur l'utilisation des services eHealth et leur satisfaction à leur égard " suite aux problèmes rencontrés par l'offre de services ehealth qui a connu des bugs.

La ministre De Block "souhaite donner une place aux applications mobiles dans les soins de santé réguliers". Afin de garantir la qualité et la sécurité du patient, elle a choisi "de procéder à l'aide d'un système de validation en forme de pyramide".

Au deuxième niveau de cette pyramide, les applications doivent être interopérables avec tous les services de base eHealth pertinents et les " Services à valeur ajoutée " fédéraux (par ex. Recip-e).

Afin de permettre aux entreprises de tester cette interopérabilité, la ministre a dégagé 300.000 euros pour financer des centres de tests e-health.

Enfin, dans le cadre du budget 2019, la ministre De Block réserve 1,4 million d'euros aux soins de santé mentale pour les adultes."Ces moyens supplémentaires permettront de créer au minimum huit équipes mobiles supplémentaires (on en compte aujourd'hui 45)."

Maggie De Block, ministre de la Santé publique s'est dit " très satisfaite "." Nous pouvons maintenant poursuivre dans cette voie. Le plus important, c'est qu'il n'y a pas d'économies à charge des patients et des dispensateurs de soins ", souligne Maggie De Block, ministre des Affaires sociales et de la Santé publique.Le montant s'élève à 26.518.320.000 euros. La majorité du Conseil général a approuvé cet objectif." Le cadre budgétaire pluriannuel du gouvernement fédéral continuera d'être respecté ", note l'Inami, dans un communiqué court et sibyllin. "Les masses d'indexation prévues (1,45 % pour les secteurs d'honoraires) sont intégralement attribuées. La décision se fonde sur une proposition approuvée par la majorité des organismes assureurs et des dispensateurs de soins le 1er octobre 2018. Elle concrétise les mesures à mettre en oeuvre pour atteindre l'objectif. "Pour rappel, on attend des " efforts supplémentaires " de 272 millions d'euros dans le secteur pharmaceutique. Les mutuelles, quant à elles, voient leurs compétences relevant des entités fédérées prises en charge par celles-ci et non plus par l'assurance soins de santé (pour un montant de 36,2 millions d'euros).Ce budget comprend également les recettes des activités de contrôle de l'Inami sur les dispensateurs qui profitent du système ou qui l'utilisent mal pour un montant de 25 millions. La marge économique des pharmaciens a été augmentée de 5,8 millions euros.Le budget prévoit également le financement de projets spéciaux autour de mHealth (santé mobile). " Les parties prenantes et les utilisateurs feront aussi l'objet d'un monitoring périodique et seront interrogés sur l'utilisation des services eHealth et leur satisfaction à leur égard " suite aux problèmes rencontrés par l'offre de services ehealth qui a connu des bugs.La ministre De Block "souhaite donner une place aux applications mobiles dans les soins de santé réguliers". Afin de garantir la qualité et la sécurité du patient, elle a choisi "de procéder à l'aide d'un système de validation en forme de pyramide".Au deuxième niveau de cette pyramide, les applications doivent être interopérables avec tous les services de base eHealth pertinents et les " Services à valeur ajoutée " fédéraux (par ex. Recip-e).Afin de permettre aux entreprises de tester cette interopérabilité, la ministre a dégagé 300.000 euros pour financer des centres de tests e-health.Enfin, dans le cadre du budget 2019, la ministre De Block réserve 1,4 million d'euros aux soins de santé mentale pour les adultes."Ces moyens supplémentaires permettront de créer au minimum huit équipes mobiles supplémentaires (on en compte aujourd'hui 45)."