4.200 chercheurs sont actifs dans la recherche cliniques en Belgique. Notre pays est une terre fertile pour la science bio-médicale. Maggie De Block, ministre de la Santé publique, souhaite maintenir notre rang : "Les essais cliniques sont d'une grande importance pour les patients, qui ont ainsi accès aux derniers traitements alors qu'ils ne sont pas encore disponibles ailleurs. De cette manière, ils ont une chance de guérir, de prolonger leur durée de vie et/ou d'améliorer leur qualité de vie."

Moins de comités d'éthique hospitaliers

Vendredi a été approuvée, notamment, la création d'un collège d'éthique, au sein du SPF Santé publique. "Il sera responsable de la coordination et de la sélection des comités d'éthique chargés de l'évaluation des demandes d'essais. Le collège sera également garant du bon respect des procédures. L'harmonisation des procédures et le renforcement du professionnalisme permettront d'évaluer ces demandes de manière plus cohérente, ce qui améliorera aussi la sécurité et le bien-être des patients." Les patients y seront représentés. En parallèle, les 24 comités d'éthique reconnus au sein des hôpitaux verront leur nombre rationnalisé.
Enfin, l'Union européenne va simplifier les procédures administratives pour les entreprises qui veulent lancer des recherches en Europe. Elles ne devront plus introduire qu'une seule demande d'essai clinique pour l'ensemble du l'Union. Elle le déposera dans l'Etat-membre rapporteur et son accord vaudra pour les autres Etats de l'Union.

Transparence européenne

Le citoyen européen qui veut participer (ou seulement se renseigner) voit son poids grandir : En effet, "chaque État membre doit disposer d'un système de compensation pour couvrir tout dommage lié aux essais cliniques. De plus, les règles concernant le consentement éclairé sont harmonisées au niveau européen et l'obligation de notification est renforcée, plus particulièrement pour les groupes vulnérables, tels que les mineurs, les femmes enceintes et les femmes allaitantes".
Les firmes seront tenues, en contrepartie, "de publier les résultats de chaque essai clinique dans une banque de données européenne accessible au public. Ces résultats devront également être accompagnés d'un résumé compréhensible pour une personne profane."

4.200 chercheurs sont actifs dans la recherche cliniques en Belgique. Notre pays est une terre fertile pour la science bio-médicale. Maggie De Block, ministre de la Santé publique, souhaite maintenir notre rang : "Les essais cliniques sont d'une grande importance pour les patients, qui ont ainsi accès aux derniers traitements alors qu'ils ne sont pas encore disponibles ailleurs. De cette manière, ils ont une chance de guérir, de prolonger leur durée de vie et/ou d'améliorer leur qualité de vie." Moins de comités d'éthique hospitaliers Vendredi a été approuvée, notamment, la création d'un collège d'éthique, au sein du SPF Santé publique. "Il sera responsable de la coordination et de la sélection des comités d'éthique chargés de l'évaluation des demandes d'essais. Le collège sera également garant du bon respect des procédures. L'harmonisation des procédures et le renforcement du professionnalisme permettront d'évaluer ces demandes de manière plus cohérente, ce qui améliorera aussi la sécurité et le bien-être des patients." Les patients y seront représentés. En parallèle, les 24 comités d'éthique reconnus au sein des hôpitaux verront leur nombre rationnalisé. Enfin, l'Union européenne va simplifier les procédures administratives pour les entreprises qui veulent lancer des recherches en Europe. Elles ne devront plus introduire qu'une seule demande d'essai clinique pour l'ensemble du l'Union. Elle le déposera dans l'Etat-membre rapporteur et son accord vaudra pour les autres Etats de l'Union. Transparence européenne Le citoyen européen qui veut participer (ou seulement se renseigner) voit son poids grandir : En effet, "chaque État membre doit disposer d'un système de compensation pour couvrir tout dommage lié aux essais cliniques. De plus, les règles concernant le consentement éclairé sont harmonisées au niveau européen et l'obligation de notification est renforcée, plus particulièrement pour les groupes vulnérables, tels que les mineurs, les femmes enceintes et les femmes allaitantes". Les firmes seront tenues, en contrepartie, "de publier les résultats de chaque essai clinique dans une banque de données européenne accessible au public. Ces résultats devront également être accompagnés d'un résumé compréhensible pour une personne profane."