Dans un premier temps, la priorité est donnée à la création d'un logipôle non médical. "Les activités concernées sont celles des cuisines, des blanchisseries et des magasins de l'ensemble des parties prenantes. Ces dernières disposent de la taille critique suffisante à la mutualisation de ces services qui constitue une réelle plus-value en termes de qualité et d'efficacité des flux hospitaliers concernés", explique Stéphan Mercier, directeur général de Helora.

Un logipôle regroupant des activités médicales est à l'étude. Ce dernier regrouperait les pharmacies, salles blanches et stérilisations.

L'hôpital psychiatrique du Chêne aux Haies ainsi que les maisons de repos, crèches et services de repas à domicile des parties prenantes sont aussi concernés par cette standardisation.

"Le pôle logistique est l'un des jalons essentiels à la création du grand hôpital montois qui est une priorité pour moi car cela permettra d'améliorer l'offre de soins à la population, tout en redynamisant Jemappes grâce à sa localisation à l'avenue Wilson. C'est la représentation concrète d'une ambition d'avenir dans le secteur des soins de santé, où les indicateurs de qualité et de proximité sont fondamentaux. Le futur hôpital et les différentes structures qui seront présentes sur le territoire montois renforcent l'affirmation de la Ville en tant que pôle scientifique, technologique et universitaire", soutient Nicolas Martin, Bourgmestre de la Ville de Mons.

Geothermia

Le site montois de Geothermia va accueillir le logipôle. Ce site est relié aux principaux axes autoroutiers et est équipé de la géothermie. "Le logipôle pourra réaliser d'importantes économies énergétiques en bénéficiant de cette énergie pour chauffer ses bâtiments et utiliser l'eau dans le cadre d'un de ses processus de production", expliquent les partenaires.

Dans le même ordre d'idée, le bâtiment sera équipé de panneaux photovoltaïques afin d'adopter une consommation d'électricité écoresponsable tout en réduisant son impact carbone.

Vu l'étendue du bâtiment, l'installation d'une éolienne, directement sur le site du logipôle, est actuellement à l'étude.

D'autres initiatives seront prises pour réduire l'impact environnemental de la structure comme par exemple la mise en place d'un parc de véhicules exclusivement électriques.

"Les infrastructures du logipôle ne rentreront pas en concurrence avec celles du futur hôpital montois, situé à l'Avenue Wilson. Bien que cette option ait été envisagée, elle ne présentait d'une part, pas tous les avantages de Geothermia et d'autre part, limitait le déploiement de l'hôpital. Par expérience, nous savons que les besoins d'aujourd'hui ne sont pas forcément ceux de demain. Disposer de deux sites distincts nous permettra de développer sereinement les activités de chacune de ses entités", précise Stéphan Mercier.

Activités du logipôle montois

Les services du logipôle seront implantés sur le site de Geothermia en deux temps. La première phase visera à développer, à l'horizon 2027, les activités de :

- la blanchisserie centrale qui traitera environ 14 tonnes de linge par jour soit environ 50.000 pièces (linge, vêtement de travail...)

- la cuisine centrale qui préparera environ 10.000 repas par jour en garantissant une production maison, une sélection de produits adaptés et la mise en avant des circuits courts.

La seconde phase concernera, quant à elle, le magasin central qui aura pour but de stocker et de livrer tous les produits nécessaires au fonctionnement de l'ensemble des services de l'hôpital.

"Réunir ces activités sur un site unique comporte plusieurs avantages. Le premier est d'améliorer la qualité des produits et des services proposés. Le second est de garantir un meilleur approvisionnement n'étant pas tributaire de prestataires extérieurs. Le troisième est d'assumer notre responsabilité sociétale et environnementale en réduisant notre empreinte carbone et en augmentant le nombre d'emplois dans la région", indique Stéphan Mercier, directeur général de Helora.

La construction du logipôle montois permettra, dans un premier temps, de créer environ 40 emplois et d'en maintenir 200.

Dans un premier temps, la priorité est donnée à la création d'un logipôle non médical. "Les activités concernées sont celles des cuisines, des blanchisseries et des magasins de l'ensemble des parties prenantes. Ces dernières disposent de la taille critique suffisante à la mutualisation de ces services qui constitue une réelle plus-value en termes de qualité et d'efficacité des flux hospitaliers concernés", explique Stéphan Mercier, directeur général de Helora. Un logipôle regroupant des activités médicales est à l'étude. Ce dernier regrouperait les pharmacies, salles blanches et stérilisations.L'hôpital psychiatrique du Chêne aux Haies ainsi que les maisons de repos, crèches et services de repas à domicile des parties prenantes sont aussi concernés par cette standardisation."Le pôle logistique est l'un des jalons essentiels à la création du grand hôpital montois qui est une priorité pour moi car cela permettra d'améliorer l'offre de soins à la population, tout en redynamisant Jemappes grâce à sa localisation à l'avenue Wilson. C'est la représentation concrète d'une ambition d'avenir dans le secteur des soins de santé, où les indicateurs de qualité et de proximité sont fondamentaux. Le futur hôpital et les différentes structures qui seront présentes sur le territoire montois renforcent l'affirmation de la Ville en tant que pôle scientifique, technologique et universitaire", soutient Nicolas Martin, Bourgmestre de la Ville de Mons.Le site montois de Geothermia va accueillir le logipôle. Ce site est relié aux principaux axes autoroutiers et est équipé de la géothermie. "Le logipôle pourra réaliser d'importantes économies énergétiques en bénéficiant de cette énergie pour chauffer ses bâtiments et utiliser l'eau dans le cadre d'un de ses processus de production", expliquent les partenaires. Dans le même ordre d'idée, le bâtiment sera équipé de panneaux photovoltaïques afin d'adopter une consommation d'électricité écoresponsable tout en réduisant son impact carbone.Vu l'étendue du bâtiment, l'installation d'une éolienne, directement sur le site du logipôle, est actuellement à l'étude.D'autres initiatives seront prises pour réduire l'impact environnemental de la structure comme par exemple la mise en place d'un parc de véhicules exclusivement électriques."Les infrastructures du logipôle ne rentreront pas en concurrence avec celles du futur hôpital montois, situé à l'Avenue Wilson. Bien que cette option ait été envisagée, elle ne présentait d'une part, pas tous les avantages de Geothermia et d'autre part, limitait le déploiement de l'hôpital. Par expérience, nous savons que les besoins d'aujourd'hui ne sont pas forcément ceux de demain. Disposer de deux sites distincts nous permettra de développer sereinement les activités de chacune de ses entités", précise Stéphan Mercier.Les services du logipôle seront implantés sur le site de Geothermia en deux temps. La première phase visera à développer, à l'horizon 2027, les activités de :- la blanchisserie centrale qui traitera environ 14 tonnes de linge par jour soit environ 50.000 pièces (linge, vêtement de travail...)- la cuisine centrale qui préparera environ 10.000 repas par jour en garantissant une production maison, une sélection de produits adaptés et la mise en avant des circuits courts.La seconde phase concernera, quant à elle, le magasin central qui aura pour but de stocker et de livrer tous les produits nécessaires au fonctionnement de l'ensemble des services de l'hôpital."Réunir ces activités sur un site unique comporte plusieurs avantages. Le premier est d'améliorer la qualité des produits et des services proposés. Le second est de garantir un meilleur approvisionnement n'étant pas tributaire de prestataires extérieurs. Le troisième est d'assumer notre responsabilité sociétale et environnementale en réduisant notre empreinte carbone et en augmentant le nombre d'emplois dans la région", indique Stéphan Mercier, directeur général de Helora.La construction du logipôle montois permettra, dans un premier temps, de créer environ 40 emplois et d'en maintenir 200.