L'action esanté organisée cette semaine à Bruxelles comble ses organisateurs. Outre l'intérêt des hôpitaux et des médecins, il était important que le grand public s'intéresse aussi à la problématique. Explication avec Cécile Rochus d'Abrumet.
" Je vois clairement l'évolution chez les médecins ", fait observer Cécile Rochus, responsable communication d'Abrumet, le réseau santé bruxellois. "Ils voient de plus en plus la plus-value de l'informatisation des données de santé. Cependant, ils ne sont pas technophiles et se sentent un peu seuls. Ils ont besoin d'être formés. C'est pourquoi nous avons organisé une première formation pratique sur trois packages : healthOne, Epicura et PriCare qui sont les trois logiciels les plus utilisés sur Bruxelles. 60 médecins ont répondu. Il y a énormément de demandes émanant des médecins. "
Cependant, ils sont de niveaux très différents dans l'approche informatique. Donc, il faut faire la part entre information générale et formation pratique. 80 Glems bruxellois ont été contactés.
Double objectif
L'objectif de la campagne de sensibilisation est double : d'abord, activer la communication au sein de l'hôpital. A Bruxelles, la Cocom a apporté son soutien. "Ainsi, les CEO des hôpitaux bruxellois ont été invités à montrer leur engagement dans le développement de l'e-santé. Mais nous voulons également communiquer avec les médecins généralistes."
Le deuxième objectif est d'arriver à une communication externe avec les patients (d'où une communication spécifique ce lundi à ce sujet).
Les hôpitaux ont participé à des degrés divers (certains avaient justement un anniversaire à fêter). Des brochures ont été déposées dans 14 institutions bruxelloises. Celles-ci se sont investies de façon majeure.
"C'est une grande réussite pour nous d'avoir pu mettre à l'agenda des grands médias (dont le Forum de midi sur la Rtbf) cette thématique de l'esanté. C'est extrêmement important pour faire progresser ce dossier", conclut Cécile Rochus.
" Je vois clairement l'évolution chez les médecins ", fait observer Cécile Rochus, responsable communication d'Abrumet, le réseau santé bruxellois. "Ils voient de plus en plus la plus-value de l'informatisation des données de santé. Cependant, ils ne sont pas technophiles et se sentent un peu seuls. Ils ont besoin d'être formés. C'est pourquoi nous avons organisé une première formation pratique sur trois packages : healthOne, Epicura et PriCare qui sont les trois logiciels les plus utilisés sur Bruxelles. 60 médecins ont répondu. Il y a énormément de demandes émanant des médecins. " Cependant, ils sont de niveaux très différents dans l'approche informatique. Donc, il faut faire la part entre information générale et formation pratique. 80 Glems bruxellois ont été contactés. Double objectif L'objectif de la campagne de sensibilisation est double : d'abord, activer la communication au sein de l'hôpital. A Bruxelles, la Cocom a apporté son soutien. "Ainsi, les CEO des hôpitaux bruxellois ont été invités à montrer leur engagement dans le développement de l'e-santé. Mais nous voulons également communiquer avec les médecins généralistes." Le deuxième objectif est d'arriver à une communication externe avec les patients (d'où une communication spécifique ce lundi à ce sujet). Les hôpitaux ont participé à des degrés divers (certains avaient justement un anniversaire à fêter). Des brochures ont été déposées dans 14 institutions bruxelloises. Celles-ci se sont investies de façon majeure. "C'est une grande réussite pour nous d'avoir pu mettre à l'agenda des grands médias (dont le Forum de midi sur la Rtbf) cette thématique de l'esanté. C'est extrêmement important pour faire progresser ce dossier", conclut Cécile Rochus.