La Clinique Saint-Luc à Bouge dispose à présent d'une machine d'IRM qui permettra de réaliser environ 8.000 examens par an. Les images générées, tridimensionnelles et en coupe, sont d'une grande précision anatomique. Le directeur médical de la Clinique Saint-Luc Bouge, Dr Jean-Paul Joris, attendait avec impatience le feu vert du ministre wallon de la santé qui a été donné en juillet dernier : " Nous sommes très heureux, après 20 ans d'attente, de pouvoir réaliser ce type d'examen chez nous. Nous répondons de manière plus performante au suivi direct du patient et contribuons donc à augmenter la qualité des soins qu'offre la clinique."

Afin d'assurer ce service de proximité le plus vite possible, une installation provisoire a été mise en place sur le site de la clinique. L'IRM définitive, d'une valeur d'environ 1 million d'euros sera installée de manière permanente d'ici un an.
En attendant, une machine performante occupe un module placé à côté de la clinique disposant d'un accès direct au service d'imagerie médicale. Des travaux de fonds ont été entamés à l'intérieur du bâtiment principal afin de pouvoir y installer la machine définitive en 2016.

La Clinique Saint-Luc à Bouge dispose à présent d'une machine d'IRM qui permettra de réaliser environ 8.000 examens par an. Les images générées, tridimensionnelles et en coupe, sont d'une grande précision anatomique. Le directeur médical de la Clinique Saint-Luc Bouge, Dr Jean-Paul Joris, attendait avec impatience le feu vert du ministre wallon de la santé qui a été donné en juillet dernier : " Nous sommes très heureux, après 20 ans d'attente, de pouvoir réaliser ce type d'examen chez nous. Nous répondons de manière plus performante au suivi direct du patient et contribuons donc à augmenter la qualité des soins qu'offre la clinique." Afin d'assurer ce service de proximité le plus vite possible, une installation provisoire a été mise en place sur le site de la clinique. L'IRM définitive, d'une valeur d'environ 1 million d'euros sera installée de manière permanente d'ici un an. En attendant, une machine performante occupe un module placé à côté de la clinique disposant d'un accès direct au service d'imagerie médicale. Des travaux de fonds ont été entamés à l'intérieur du bâtiment principal afin de pouvoir y installer la machine définitive en 2016.