Le nouvel ensemble, qui ouvrira en 2022, sera le plus grand ensemble hospitalier privé de Wallonie, au croisement de la R3 et la route Charleroi-Namur. Son projet avait, au moment de sa conception fait l'objet de débats dans les rangs Ecolo du conseil communal. On s'y était ému du sort réservé à la biodiversité des terrains des Viviers, de ses amphibiens et de ses crapauds calamites, et des risques que la construction leur ferait courir.
Les travaux démarreront avec l'aménagement de zones favorables aux espèces pour s'assurer de leur maintien à long terme. L'hôpital et les parkings seront bâtis à l'est du site. La construction d'une barrière à amphibiens vise à les diriger, à terme, vers la partie ouest, qui prendra la forme d'un vaste parc de près de 10 hectares - sur les 17 hectares du site des Viviers.
Les travaux de débroussaillage, d'abattage et de terrassement seront entrepris avec le placement d'un écran synthétique et de poteaux en bois qui dirigeront les amphibiens dans la zone qui leur sera favorable. Cette première phase de travaux s'étalera jusqu'à la mi-mars 2016, et sera supervisée par la Faculté de Gembloux.
La construction du nouveau GH de Charleroi respectera les crapauds
Les premiers travaux du futur Grand Hôpital de Charleroi seront lancés ce jeudi à Charleroi, sur le terrain des Viviers, à Gilly. Ils respecteront sa biodiversité, et particulièrement celle des crapauds calamites, indique la direction du futur ensemble. Le GHDC est actuellement installé sur six sites différents dans la région, à Gilly, Montignies-sur-Sambre, Charleroi et à Loverval (IMTR).
Le nouvel ensemble, qui ouvrira en 2022, sera le plus grand ensemble hospitalier privé de Wallonie, au croisement de la R3 et la route Charleroi-Namur. Son projet avait, au moment de sa conception fait l'objet de débats dans les rangs Ecolo du conseil communal. On s'y était ému du sort réservé à la biodiversité des terrains des Viviers, de ses amphibiens et de ses crapauds calamites, et des risques que la construction leur ferait courir. Les travaux démarreront avec l'aménagement de zones favorables aux espèces pour s'assurer de leur maintien à long terme. L'hôpital et les parkings seront bâtis à l'est du site. La construction d'une barrière à amphibiens vise à les diriger, à terme, vers la partie ouest, qui prendra la forme d'un vaste parc de près de 10 hectares - sur les 17 hectares du site des Viviers. Les travaux de débroussaillage, d'abattage et de terrassement seront entrepris avec le placement d'un écran synthétique et de poteaux en bois qui dirigeront les amphibiens dans la zone qui leur sera favorable. Cette première phase de travaux s'étalera jusqu'à la mi-mars 2016, et sera supervisée par la Faculté de Gembloux.