Un groupe de travail a été mis sur pied à la fin de l'année passée. Les réunions qui ont eu lieu n'ont pas permis de trouver une solution jusqu'à présent.

" On commence à perdre patience: cela fait six fois que le point revient à l'ordre du jour mais on a l'impression que le fédéral joue la montre. Or, c'est un point qui ne peut souffrir de tergiversation ", a expliqué le ministre wallon de la Santé, Maxime Prévot.

Le ministre-président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Rudy Demotte, évoque une attitude " autistique " du gouvernement fédéral dans ce dossier. " Cela dure depuis le mois d'octobre. On en est toujours à tenter de trouver une solution mais ça urge. C'est un problème qui va au-delà de la sphère politique ", a souligné le ministre bruxellois de la Santé, Didier Gosuin.

L'heure est encore à la recherche d'une solution dans le cadre de la concertation entre le fédéral et les entités fédérées. Si le blocage persistait, le problème pourrait prendre une tournure judiciaire. " S'il faut que l'on envisage la saisine des tribunaux, on n'hésitera pas à le faire ", a averti M. Prévot.

Un groupe de travail a été mis sur pied à la fin de l'année passée. Les réunions qui ont eu lieu n'ont pas permis de trouver une solution jusqu'à présent. " On commence à perdre patience: cela fait six fois que le point revient à l'ordre du jour mais on a l'impression que le fédéral joue la montre. Or, c'est un point qui ne peut souffrir de tergiversation ", a expliqué le ministre wallon de la Santé, Maxime Prévot. Le ministre-président de la Fédération Wallonie-Bruxelles, Rudy Demotte, évoque une attitude " autistique " du gouvernement fédéral dans ce dossier. " Cela dure depuis le mois d'octobre. On en est toujours à tenter de trouver une solution mais ça urge. C'est un problème qui va au-delà de la sphère politique ", a souligné le ministre bruxellois de la Santé, Didier Gosuin. L'heure est encore à la recherche d'une solution dans le cadre de la concertation entre le fédéral et les entités fédérées. Si le blocage persistait, le problème pourrait prendre une tournure judiciaire. " S'il faut que l'on envisage la saisine des tribunaux, on n'hésitera pas à le faire ", a averti M. Prévot.