La santé financière des hôpitaux généraux semble s'être améliorée l'année dernière, selon la dernière étude Maha (Model for automatic hospital analyses) de la banque Belfius à paraître ce lundi. En 2014, 14 établissements ont vu leur résultat d'exploitation renouer avec le positif, ce qui représente 35% d'hôpitaux déficitaires en moins sur un an.

Il s'agit là d'un changement de tendance inattendu, essentiellement porté par des gains d'efficacité dans le secteur. On y observe l'effet du saut d'index mais surtout une baisse globale du personnel. Par comparaison avec le précédent rapport de 2013, l'effectif global y avait augmenté de près de 1%. Dans l'ensemble, la situation des hôpitaux semble donc sous contrôle mais la reprise reste encore fragile, selon l'analyse des économistes de Belfius.

Outre le budget des moyens financiers, qui couvre principalement les coûts de personnel, les rétrocessions sur les honoraires des médecins restent une importante source de revenus pour les hôpitaux. Ces rétrocessions ont même augmenté en 2014. Et pourtant, les spécialistes hospitaliers ont perçu un revenu net supérier à celui de 2013. Quant aux admissions, leur nombre s'est également orienté en hausse l'année dernière tandis que les séjours d'hospitalisation ont diminué.

L'étude Maha était exposée cette semaine aux directeurs financiers et autres gestionnaires des hôpitaux. Pedro Facon, chef du cabinet De Block, a déclaré lors d'une présentation que la ministre n'avait pas l'intention de venir en aide à tous les établissements en difficulté mais bien d'assainir globalement les finances.

Le chef de cabinet a d'ailleurs précisé que dans les 470 propositions reçues par Maggie De Block à la suite de son appel à projets dans le cadre de la réforme du financement des hôpitaux, les pilotes seront sélectionnés en fonction de leur apport à la restructuration des services d'urgence, de la pédiatrie et de la mise en réseau.

La santé financière des hôpitaux généraux semble s'être améliorée l'année dernière, selon la dernière étude Maha (Model for automatic hospital analyses) de la banque Belfius à paraître ce lundi. En 2014, 14 établissements ont vu leur résultat d'exploitation renouer avec le positif, ce qui représente 35% d'hôpitaux déficitaires en moins sur un an.Il s'agit là d'un changement de tendance inattendu, essentiellement porté par des gains d'efficacité dans le secteur. On y observe l'effet du saut d'index mais surtout une baisse globale du personnel. Par comparaison avec le précédent rapport de 2013, l'effectif global y avait augmenté de près de 1%. Dans l'ensemble, la situation des hôpitaux semble donc sous contrôle mais la reprise reste encore fragile, selon l'analyse des économistes de Belfius.Outre le budget des moyens financiers, qui couvre principalement les coûts de personnel, les rétrocessions sur les honoraires des médecins restent une importante source de revenus pour les hôpitaux. Ces rétrocessions ont même augmenté en 2014. Et pourtant, les spécialistes hospitaliers ont perçu un revenu net supérier à celui de 2013. Quant aux admissions, leur nombre s'est également orienté en hausse l'année dernière tandis que les séjours d'hospitalisation ont diminué.L'étude Maha était exposée cette semaine aux directeurs financiers et autres gestionnaires des hôpitaux. Pedro Facon, chef du cabinet De Block, a déclaré lors d'une présentation que la ministre n'avait pas l'intention de venir en aide à tous les établissements en difficulté mais bien d'assainir globalement les finances.Le chef de cabinet a d'ailleurs précisé que dans les 470 propositions reçues par Maggie De Block à la suite de son appel à projets dans le cadre de la réforme du financement des hôpitaux, les pilotes seront sélectionnés en fonction de leur apport à la restructuration des services d'urgence, de la pédiatrie et de la mise en réseau.