Réunis hier au niveau des présidents de Conseils d'administration, des directeurs généraux, des directeurs médicaux et des présidents des Conseils médicaux, les hôpitaux du réseau public liégeois (CHBA, CHR Huy, CHR La Citadelle, CHR Verviers, CHRA Malmedy, CHU de Liège, IsoSl) ont eu l'occasion de faire le point sur la campagne de vaccination des patients à risque en cours dans leurs institutions.

"Constatant l'augmentation des contaminations et la recrudescence des hospitalisations, nous regrettons les problématiques actuelles inhérentes à la livraison des vaccins en temps et en heure dans leurs centres de vaccination, au détriment des patients à risques et /ou âgés", écrivent les hôpitaux dans un bref communiqué. "Nous réclamons des garanties à plus long terme quant aux stocks disponibles afin de pouvoir organiser efficacement la vaccination de masse."

Les hôpitaux du réseau liégeois "confirment leur souhait et leur disponibilité pour, en support de la première ligne, pouvoir continuer à vacciner cette catégorie de patients qu'ils sont les plus à même d'identifier et qui a témoigné sa confiance dans nos hôpitaux."

Réunis hier au niveau des présidents de Conseils d'administration, des directeurs généraux, des directeurs médicaux et des présidents des Conseils médicaux, les hôpitaux du réseau public liégeois (CHBA, CHR Huy, CHR La Citadelle, CHR Verviers, CHRA Malmedy, CHU de Liège, IsoSl) ont eu l'occasion de faire le point sur la campagne de vaccination des patients à risque en cours dans leurs institutions. "Constatant l'augmentation des contaminations et la recrudescence des hospitalisations, nous regrettons les problématiques actuelles inhérentes à la livraison des vaccins en temps et en heure dans leurs centres de vaccination, au détriment des patients à risques et /ou âgés", écrivent les hôpitaux dans un bref communiqué. "Nous réclamons des garanties à plus long terme quant aux stocks disponibles afin de pouvoir organiser efficacement la vaccination de masse."Les hôpitaux du réseau liégeois "confirment leur souhait et leur disponibilité pour, en support de la première ligne, pouvoir continuer à vacciner cette catégorie de patients qu'ils sont les plus à même d'identifier et qui a témoigné sa confiance dans nos hôpitaux."