Toutefois, annonce Catherine Rutten, CEO de Pharma.be, " cela ne signifie pas que notre pays peut se reposer sur ses lauriers. Nous devons continuer à renforcer nos avantages concurrentiels au niveau des études cliniques. La mise à disposition en ligne d'informations concernant les études en cours et celles planifiées peut encore être améliorée, tant dans l'intérêt du patient que dans celui du médecin traitant. "

Cancer

De nombreuses études cliniques sont dédiées au cancer. Pour les patients cancéreux, c'est souvent le dernier espoir d'avoir accès à une thérapie dès lors qu'aucun traitement sur le marché n'offre de solution. " En 2015, quelque dix nouvelles demandes en moyenne ont été introduites par mois pour des études cliniques visant à tester de nouvelles thérapies oncologiques. Les autres études en cours étaient entre autres axées sur les maladies digestives, les maladies respiratoires, les maladies du système immunitaire et les maladies du système nerveux central. "

Pharma.be se félicite de la rapidité avec laquelle les procédures d'approbation sont rencontrées en Belgique. Notre pays offre une situation idéale avec 70 hôpitaux collaborant avec des laboratoires pharmaceutiques.
Ombre au tableau : " Une nouvelle réglementation européenne entrant en vigueur fin 2018 prévoit l'harmonisation des procédures de demande et d'approbation des études cliniques au sein de l'UE. Cette harmonisation pourrait menacer l'excellente position de la Belgique et son avantage en termes de rapidité par rapport aux autres Etats membres européens. "

Le Pacte d'avenir signé avec Maggie De Block permettra-il de garantir la position compétitive de notre pays? Les industriels l'espèrent.

" Certains patients participent à ces études animés par des considérations altruistes, mais la majorité espère bénéficier ainsi d'une autre solution thérapeutique qui donnera de meilleurs résultats ", note Mitchell Silva, lui-même patient atteint d'une maladie pulmonaire orpheline et fondateur de la plateforme Esperity, destinée aux patients.

Ceux-ci n'ont pas toujours la possibilité de trouver des infos sur les études en cours ou planifiées. " Souvent, ces informations sont trop techniques ou trop complexes. Il faudrait y remédier. En outre, la participation à une étude clinique devrait être une option dans tout parcours thérapeutique. Une campagne spécifique axée sur les prestataires professionnels de soins de santé est par conséquent une bonne idée. "

Toutefois, annonce Catherine Rutten, CEO de Pharma.be, " cela ne signifie pas que notre pays peut se reposer sur ses lauriers. Nous devons continuer à renforcer nos avantages concurrentiels au niveau des études cliniques. La mise à disposition en ligne d'informations concernant les études en cours et celles planifiées peut encore être améliorée, tant dans l'intérêt du patient que dans celui du médecin traitant. " Cancer De nombreuses études cliniques sont dédiées au cancer. Pour les patients cancéreux, c'est souvent le dernier espoir d'avoir accès à une thérapie dès lors qu'aucun traitement sur le marché n'offre de solution. " En 2015, quelque dix nouvelles demandes en moyenne ont été introduites par mois pour des études cliniques visant à tester de nouvelles thérapies oncologiques. Les autres études en cours étaient entre autres axées sur les maladies digestives, les maladies respiratoires, les maladies du système immunitaire et les maladies du système nerveux central. " Pharma.be se félicite de la rapidité avec laquelle les procédures d'approbation sont rencontrées en Belgique. Notre pays offre une situation idéale avec 70 hôpitaux collaborant avec des laboratoires pharmaceutiques. Ombre au tableau : " Une nouvelle réglementation européenne entrant en vigueur fin 2018 prévoit l'harmonisation des procédures de demande et d'approbation des études cliniques au sein de l'UE. Cette harmonisation pourrait menacer l'excellente position de la Belgique et son avantage en termes de rapidité par rapport aux autres Etats membres européens. " Le Pacte d'avenir signé avec Maggie De Block permettra-il de garantir la position compétitive de notre pays? Les industriels l'espèrent." Certains patients participent à ces études animés par des considérations altruistes, mais la majorité espère bénéficier ainsi d'une autre solution thérapeutique qui donnera de meilleurs résultats ", note Mitchell Silva, lui-même patient atteint d'une maladie pulmonaire orpheline et fondateur de la plateforme Esperity, destinée aux patients. Ceux-ci n'ont pas toujours la possibilité de trouver des infos sur les études en cours ou planifiées. " Souvent, ces informations sont trop techniques ou trop complexes. Il faudrait y remédier. En outre, la participation à une étude clinique devrait être une option dans tout parcours thérapeutique. Une campagne spécifique axée sur les prestataires professionnels de soins de santé est par conséquent une bonne idée. "