La Communauté germanophone dispose d'une large autonomie, notamment en matière de santé. Sa population, estimée à environ 76.000 personnes, dispose de deux institutions de soins : l'hôpital St-Nikolaus à Eupen (192 lits) la clinique St-Josef à St-Vith, (156 lits). Ces deux hôpitaux évoluent dans un environnement assez concurrentiel, sur un territoire plutôt restreint. Offrir des soins de qualité dans une institution de petite taille est un challenge majeur. Il est important de recruter du personnel médical spécialisé devant un horizon budgétaire tendu.

Le paysage hospitalier se trouve actuellement en pleine mutation et les hôpitaux seront mis sous une pression supplémentaire par le financement de base décidé par l'autorité fédérale, qui défavorise les petites structures de soins. Face à cette situation particulière, la Communauté germanophone estime qu'il est fondamental de préserver les deux institutions de soins. " Nous entendons garantir à notre population l'accès à des soins de santé de proximité, de qualité et en langue allemande ", a déclaré Antonios Antoniadis, ministre germanophone de la Famille, de la Santé et des Affaires sociales. Les deux hôpitaux vont donc développer un réseau de soins où ils tiendront le rôle central entre l'amont (les médecins généralistes, notamment) et l'aval (MR, MRS, soins à domicile).

La Communauté germanophone et les hôpitaux d'Eupen et de St-Vith ont légitimement le souhait de renforcer leur activité pour assurer la pérennité de leurs structures. De son côté, le CHC souhaite renforcer sa position en tant que centre de référence pour un certain nombre de pathologies. En effet, les activités hautement spécialisées nécessitent un agrément lié non seulement à des critères de qualité mais aussi à des seuils quantitatifs minimums.

La Communauté germanophone dispose d'une large autonomie, notamment en matière de santé. Sa population, estimée à environ 76.000 personnes, dispose de deux institutions de soins : l'hôpital St-Nikolaus à Eupen (192 lits) la clinique St-Josef à St-Vith, (156 lits). Ces deux hôpitaux évoluent dans un environnement assez concurrentiel, sur un territoire plutôt restreint. Offrir des soins de qualité dans une institution de petite taille est un challenge majeur. Il est important de recruter du personnel médical spécialisé devant un horizon budgétaire tendu. Le paysage hospitalier se trouve actuellement en pleine mutation et les hôpitaux seront mis sous une pression supplémentaire par le financement de base décidé par l'autorité fédérale, qui défavorise les petites structures de soins. Face à cette situation particulière, la Communauté germanophone estime qu'il est fondamental de préserver les deux institutions de soins. " Nous entendons garantir à notre population l'accès à des soins de santé de proximité, de qualité et en langue allemande ", a déclaré Antonios Antoniadis, ministre germanophone de la Famille, de la Santé et des Affaires sociales. Les deux hôpitaux vont donc développer un réseau de soins où ils tiendront le rôle central entre l'amont (les médecins généralistes, notamment) et l'aval (MR, MRS, soins à domicile). La Communauté germanophone et les hôpitaux d'Eupen et de St-Vith ont légitimement le souhait de renforcer leur activité pour assurer la pérennité de leurs structures. De son côté, le CHC souhaite renforcer sa position en tant que centre de référence pour un certain nombre de pathologies. En effet, les activités hautement spécialisées nécessitent un agrément lié non seulement à des critères de qualité mais aussi à des seuils quantitatifs minimums.