La Chambre des représentants recherche rapidement des membres pour faire partie de la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie dans le cadre de la Loi du 28 mai 2002. L'appel n'est que le troisième après celui du 16 mars et du 19 juin 2015.
Les candidats ne se pressent pas non plus au portillon pour siéger au sein de la Commission nationale d'évaluation de l'avortement. Le dernier appel date du 11 mars de l'an passé.
La Chambre a la compétence pour accepter les candidats de ces commissions sénatoriales.
La commission euthanasie dispose de 16 sièges : 8 médecins (dont 4 émanant du monde académique), 4 juristes et 4 membres d'organisations liées à la problématique de l'euthanasie.
La commission Avortement est composée identiquement. Les membres du secteur associatif doivent provenir d'organisations actives sur le terrain de l'accompagnement des femmes en difficulté.
Une loi a élargi les critères de composition de ces commissions. Ainsi, les médecins ne doivent pas forcément être professeurs actifs. Ils peuvent être doyens ou professeurs émérites. Idem pour les juristes (qui peuvent être aussi avocats). De cette manière, la Chambre espère combler les pénuries de candidats. Il manque surtout des figures universitaires.
Les personnes qui ont posé leurs candidatures lors d'un appel précédent sont automatiquement repris : elles ne doivent pas présenter à nouveau une candidature.
Nouvel appel pour siéger à la Commission avortement
Wouter Colson
Journaliste politique
Un nouvel appel à candidatures pour faire partie de la commission Euthanasie est paru vendredi dans Le Moniteur - en même temps qu'un appel semblable pour la commission Avortement. Face à la pénurie de candidats, essentiellement des figures du monde universitaire, les conditions ont été assouplies.
La Chambre des représentants recherche rapidement des membres pour faire partie de la Commission fédérale de contrôle et d'évaluation de l'euthanasie dans le cadre de la Loi du 28 mai 2002. L'appel n'est que le troisième après celui du 16 mars et du 19 juin 2015. Les candidats ne se pressent pas non plus au portillon pour siéger au sein de la Commission nationale d'évaluation de l'avortement. Le dernier appel date du 11 mars de l'an passé. La Chambre a la compétence pour accepter les candidats de ces commissions sénatoriales. La commission euthanasie dispose de 16 sièges : 8 médecins (dont 4 émanant du monde académique), 4 juristes et 4 membres d'organisations liées à la problématique de l'euthanasie. La commission Avortement est composée identiquement. Les membres du secteur associatif doivent provenir d'organisations actives sur le terrain de l'accompagnement des femmes en difficulté. Une loi a élargi les critères de composition de ces commissions. Ainsi, les médecins ne doivent pas forcément être professeurs actifs. Ils peuvent être doyens ou professeurs émérites. Idem pour les juristes (qui peuvent être aussi avocats). De cette manière, la Chambre espère combler les pénuries de candidats. Il manque surtout des figures universitaires. Les personnes qui ont posé leurs candidatures lors d'un appel précédent sont automatiquement repris : elles ne doivent pas présenter à nouveau une candidature.