Les négociations ont repris jeudi entre les syndicats (front commun CSC-CGSP) et la direction de l'hôpital de la Citadelle de Liège, a précisé jeudi matin Lina Cloostermans, secrétaire permanente CSC Services Publics. Le personnel en grève est réuni dans le hall d'entrée de l'établissement depuis 8h.
Le personnel de l'hôpital liégeois s'est mis en grève pour manifester son mécontentement et son inquiétude face aux mesures d'économies telles que prévues dans le budget 2018. Les travailleurs resteront dans le hall d'entrée, en soutien à leurs représentants syndicaux qui ont repris les négociations avec la direction.
Sauf avis contraire, le personnel sera également en grève vendredi, comme cela a été décidé en assemblée. Une prochaine date de rencontre entre la direction et les syndicats est fixée le lundi 12 février à 14 h.
"La détermination est telle que dans certains services, c'est tout le personnel qui s'est déclaré en grève", soulignait mercredi la secrétaire permanente.
Les travailleurs souhaitent que la direction abandonne les trois mesures d'économies qui les touchent directement, à savoir la diminution des effectifs de 35 équivalents temps plein, le remplacement de la prime de 11% pour prestations inconfortables dont bénéficient les secteurs de soins et la réduction de la partie variable de la prime de fin d'année.
Le personnel de l'hôpital liégeois s'est mis en grève pour manifester son mécontentement et son inquiétude face aux mesures d'économies telles que prévues dans le budget 2018. Les travailleurs resteront dans le hall d'entrée, en soutien à leurs représentants syndicaux qui ont repris les négociations avec la direction. Sauf avis contraire, le personnel sera également en grève vendredi, comme cela a été décidé en assemblée. Une prochaine date de rencontre entre la direction et les syndicats est fixée le lundi 12 février à 14 h. "La détermination est telle que dans certains services, c'est tout le personnel qui s'est déclaré en grève", soulignait mercredi la secrétaire permanente. Les travailleurs souhaitent que la direction abandonne les trois mesures d'économies qui les touchent directement, à savoir la diminution des effectifs de 35 équivalents temps plein, le remplacement de la prime de 11% pour prestations inconfortables dont bénéficient les secteurs de soins et la réduction de la partie variable de la prime de fin d'année.
