En 2015, plus de 7.000 Belges sont atteints d'une insuffisance rénale chronique nécessitant un traitement de substitution à la fonction rénale. Le coût annuel moyen par patient à charge de la sécurité est supérieur à 55.000 euros, calcule Santhea.

Il faut donc utiliser les deniers de la sécu avec circonspection. Ainsi " les patients moins lourds, plus autonomes, plus jeunes ou qui bénéficient de l'aide d'un proche peuvent assez facilement assurer seuls leur prise en charge; ces patients sont soit orientés vers les centre collectifs d'autodialyse soit traités à domicile. "
Santhea salue le fait que mutuelles et hôpitaux/médecins soient arrivés à un accord pour coller mieux à la réalité de la pratique médicale.

Deux grandes décisions ont été prises :

L'encouragement des traitements non hospitaliers : " Le médecin doit informer le patient sur les formes de traitement possibles dans sa situation spécifique et il doit, en concertation avec lui, déterminer quelle est l'option la plus indiquée. Mais chaque centre doit prendre l'engagement qu'au 31 décembre 2017, un minimum de 40 % des patients qu'il prend en charge bénéficiera d'un traitement soit en centre collectif d'autodialyse soit à domicile ". Aujourd'hui, les patients dans ce cas représentent un peu plus de 30 % des patients qui bénéficient d'un traitement de substitution à la fonction rénale.
La promotion des trajets de soins : Quand le diagnostic d'insuffisance rénale a été posé, le patient doit désormais être incité à s'inscrire dans le trajet de soins pour l'insuffisance rénale en vue d'assurer un suivi efficace de sa maladie. " Aujourd'hui seule une minorité de patients suivent le trajet de soins ", regrette Santhea.

En 2015, plus de 7.000 Belges sont atteints d'une insuffisance rénale chronique nécessitant un traitement de substitution à la fonction rénale. Le coût annuel moyen par patient à charge de la sécurité est supérieur à 55.000 euros, calcule Santhea. Il faut donc utiliser les deniers de la sécu avec circonspection. Ainsi " les patients moins lourds, plus autonomes, plus jeunes ou qui bénéficient de l'aide d'un proche peuvent assez facilement assurer seuls leur prise en charge; ces patients sont soit orientés vers les centre collectifs d'autodialyse soit traités à domicile. " Santhea salue le fait que mutuelles et hôpitaux/médecins soient arrivés à un accord pour coller mieux à la réalité de la pratique médicale.Deux grandes décisions ont été prises : L'encouragement des traitements non hospitaliers : " Le médecin doit informer le patient sur les formes de traitement possibles dans sa situation spécifique et il doit, en concertation avec lui, déterminer quelle est l'option la plus indiquée. Mais chaque centre doit prendre l'engagement qu'au 31 décembre 2017, un minimum de 40 % des patients qu'il prend en charge bénéficiera d'un traitement soit en centre collectif d'autodialyse soit à domicile ". Aujourd'hui, les patients dans ce cas représentent un peu plus de 30 % des patients qui bénéficient d'un traitement de substitution à la fonction rénale. La promotion des trajets de soins : Quand le diagnostic d'insuffisance rénale a été posé, le patient doit désormais être incité à s'inscrire dans le trajet de soins pour l'insuffisance rénale en vue d'assurer un suivi efficace de sa maladie. " Aujourd'hui seule une minorité de patients suivent le trajet de soins ", regrette Santhea.