Le premier coup de pelle a été donné ce mercredi 2 décembre 2020 pour lancer le chantier des futures urgences du CHR Sambre & Meuse (site Meuse, à Namur) qui devrait se terminer en 2023. Il se fait en collaboration avec le bureau Espace Architectes et l'entrepreneur Dherte Namur.
Le service des urgences du CHRSM - site Meuse est le plus ancien (1977) et le plus important de la province de Namur. Riche de ces nombreuses années d'expérience, l'hôpital a décidé d'investir dans son avenir en lançant ce chantier important, estimé à 11 millions d'euros, financés à deux millions par l'hôpital public et à neuf millions par la Région wallonne.
Une nécessité
Au fil des années, le nombre de patients se présentant aux urgences a explosé. Passant de 9. 000 entrées fin des années 70 à 49.000 en 2019, il était plus que nécessaire de repenser complètement l'organisation du Service. " 50% des patients hospitalisés entrent par les urgences ", précise Gilles Mouyard, président du CHRSM. " C'est donc l'une des principales portes d'entrée de notre hôpital et il est capital que l'accueil y soit agréable et que la prise en charge soit facilitée par l'agencement du Service. "
Le concept architectural se veut innovant. Le nouveau service sera orienté vers ses utilisateurs, patients et membres du personnel. Dans une sorte de panoptique moderne, la nouvelle infrastructure " sera accueillante et contribuera à réduire le sentiment de stress qui survient lorsque les patients se rendent aux urgences, notamment en appliquant le concept de 'Marche en avant' selon lequel le patient évolue au sein du service de manière à ne jamais revenir en arrière dans sa prise en charge physique' ", détaille l'architecte Julien Duplat.
Le projet est co-construit depuis près de cinq ans avec l'équipe des urgences et le département technique. " Nous avons vraiment le sentiment d'avoir été écoutés ", précise le Dr Pascale Lievens, médecin chef du service des urgences. " La collaboration pour faire émerger ce projet a été très positive. Cela a donc pris du temps mais c'était indispensable. "
À noter que le bâtiment se veut écologique grâce, entre autres, à la lumière naturelle apportée par les nombreuses fenêtres et au forage thermique.
Le service des urgences du CHRSM - site Meuse est le plus ancien (1977) et le plus important de la province de Namur. Riche de ces nombreuses années d'expérience, l'hôpital a décidé d'investir dans son avenir en lançant ce chantier important, estimé à 11 millions d'euros, financés à deux millions par l'hôpital public et à neuf millions par la Région wallonne.Au fil des années, le nombre de patients se présentant aux urgences a explosé. Passant de 9. 000 entrées fin des années 70 à 49.000 en 2019, il était plus que nécessaire de repenser complètement l'organisation du Service. " 50% des patients hospitalisés entrent par les urgences ", précise Gilles Mouyard, président du CHRSM. " C'est donc l'une des principales portes d'entrée de notre hôpital et il est capital que l'accueil y soit agréable et que la prise en charge soit facilitée par l'agencement du Service. "Le concept architectural se veut innovant. Le nouveau service sera orienté vers ses utilisateurs, patients et membres du personnel. Dans une sorte de panoptique moderne, la nouvelle infrastructure " sera accueillante et contribuera à réduire le sentiment de stress qui survient lorsque les patients se rendent aux urgences, notamment en appliquant le concept de 'Marche en avant' selon lequel le patient évolue au sein du service de manière à ne jamais revenir en arrière dans sa prise en charge physique' ", détaille l'architecte Julien Duplat.Le projet est co-construit depuis près de cinq ans avec l'équipe des urgences et le département technique. " Nous avons vraiment le sentiment d'avoir été écoutés ", précise le Dr Pascale Lievens, médecin chef du service des urgences. " La collaboration pour faire émerger ce projet a été très positive. Cela a donc pris du temps mais c'était indispensable. "À noter que le bâtiment se veut écologique grâce, entre autres, à la lumière naturelle apportée par les nombreuses fenêtres et au forage thermique.