Selon l'enquête, les infirmiers apprécient leur travail. La majorité des participants (95%) considèrent que leur profession comporte de nombreux défis et souhaitent continuer de travailler dans le secteur.

Wouter Decat, coordinateur de l'AUVB-UGIB-AKVB: "En tant qu'organisation coupole, nous évaluons les conclusions de nos collègues sur le terrain. Le résultat de cette étude n'est à vrai dire pas une surprise. La profession infirmière est extrêmement enrichissante, puisqu'elle permet un contact privilégié avec le patient et sa maladie, sans oublier les aspects médicaux. En outre, l'infirmier peut avoir une réelle valeur ajoutée pour le patient, notamment à travers l'aspect social et psychologique de la profession. Néanmoins, il ressort également clairement de cette étude que la charge de travail reste trop importante."

Inquiétude, quand tu nous tiens

Les trois quarts des personnes interrogées (75%) ne considèrent certainement pas l'avenir comme négatif. Cependant, une majorité admet éprouver un sentiment d'anxiété au quotidien. Selon eux, la profession connait un sous-effectif et la pression de travail est (trop) élevée (82,9%), ce qui engendre inévitablement beaucoup de stress.

Kelly Sabbe, infirmière et chercheuse à UAntwerpen qui a participé à l'élaboration de l'enquête, explique: "Selon les infirmiers interrogés, la charge de travail est principalement causée par une réduction des effectifs, une mauvaise répartition des tâches et une communication insuffisante au sein des équipes. Aussi, une grande majorité des répondants s'avèrent être des femmes. Il est étonnant de remarquer à travers cette enquête que ces dernières trouvent la charge de travail moins pesante que leurs collègues masculins."

L'enquête montre en effet la nécessité d'augmenter les effectifs sur le lieu de travail. Malgré les ressentis relativement positifs des infirmiers pratiquants, les jeunes étudiants sont découragés par la charge de travail trop intense. Il est donc essentiel qu'à l'avenir, la qualité des soins soit garantie par des employés plus nombreux et mieux formés, et ceci dans tous les secteurs de la santé.

Selon l'enquête, les infirmiers apprécient leur travail. La majorité des participants (95%) considèrent que leur profession comporte de nombreux défis et souhaitent continuer de travailler dans le secteur. Wouter Decat, coordinateur de l'AUVB-UGIB-AKVB: "En tant qu'organisation coupole, nous évaluons les conclusions de nos collègues sur le terrain. Le résultat de cette étude n'est à vrai dire pas une surprise. La profession infirmière est extrêmement enrichissante, puisqu'elle permet un contact privilégié avec le patient et sa maladie, sans oublier les aspects médicaux. En outre, l'infirmier peut avoir une réelle valeur ajoutée pour le patient, notamment à travers l'aspect social et psychologique de la profession. Néanmoins, il ressort également clairement de cette étude que la charge de travail reste trop importante."Inquiétude, quand tu nous tiensLes trois quarts des personnes interrogées (75%) ne considèrent certainement pas l'avenir comme négatif. Cependant, une majorité admet éprouver un sentiment d'anxiété au quotidien. Selon eux, la profession connait un sous-effectif et la pression de travail est (trop) élevée (82,9%), ce qui engendre inévitablement beaucoup de stress.Kelly Sabbe, infirmière et chercheuse à UAntwerpen qui a participé à l'élaboration de l'enquête, explique: "Selon les infirmiers interrogés, la charge de travail est principalement causée par une réduction des effectifs, une mauvaise répartition des tâches et une communication insuffisante au sein des équipes. Aussi, une grande majorité des répondants s'avèrent être des femmes. Il est étonnant de remarquer à travers cette enquête que ces dernières trouvent la charge de travail moins pesante que leurs collègues masculins."L'enquête montre en effet la nécessité d'augmenter les effectifs sur le lieu de travail. Malgré les ressentis relativement positifs des infirmiers pratiquants, les jeunes étudiants sont découragés par la charge de travail trop intense. Il est donc essentiel qu'à l'avenir, la qualité des soins soit garantie par des employés plus nombreux et mieux formés, et ceci dans tous les secteurs de la santé.