Frank Vandenbroucke a rencontré le 7 juin la présidence et la direction du groupe hospitalier Vivalia pour discuter de la cyberattaque dont l'hôpital est victime depuis le 13 mai.
En se rendant sur place, le ministre de la Santé publique a voulu témoigner son soutien aux équipes qui travaillent depuis trois semaines pour rétablir la situation au plus vite et discuter des plans d'avenir en matière de cybersécurité.
"Depuis le moment où l'attaque est intervenue, nous avons suivi la situation de près avec mes collaborateurs. Je tiens ici à féliciter les équipes de Vivalia qui ont travaillé jour et nuit pour que l'activité médicale puisse reprendre graduellement dans les meilleurs délais. En discutant aujourd'hui avec la direction, j'ai pu me rendre compte encore mieux de l'ampleur de la tâche et de la solidarité qui s'est directement mise en place au sein de l'hôpital, mais aussi entre hôpitaux ayant déjà été touchés par une cyberattaque", commente Frank Vandenbroucke.
"En tant que ministre de la Santé publique, j'ai vraiment été touché par ce que j'ai entendu hier soir", ajoute le dirigeant du Vooruit. "Aujourd'hui, c'est Vivalia qui est frappé de plein fouet, ses patients, ses prestataires indépendants et son personnel pris en otage. Demain, cela sera peut-être un autre hôpital. Nous tenons à rassurer le personnel de Vivalia que nous planchons sur des actions concrètes qui pourront être utiles à l'ensemble du secteur, comme le partage d'expériences, le renforcement de la conscientisation à la cybersécurité, ... L'idée étant d'en sortir ensemble plus forts".
Le ministre a rappelé aux dirigeants de Vivalia que la cybersécurité est une priorité inscrite dans l'accord de gouvernement et qu'il a dégagé des budgets supplémentaires (20 millions d'euros en 2022-2023) pour lutter contre la piraterie informatique. Les fédérations Santhea et Gibbis estime que ce budget, insuffisant, devrait être prévu de façon structurelle pour soutenir les hôpitaux. "L'importance de la cybersécurité n'est pas neuve, mais elle ne fait que croître. Dans mon département, il en va de la sécurité des hôpitaux, du personnel, des patients et de la continuité des soins ainsi que du respect de leur vie privée. Par ailleurs, j'espère pouvoir dégager des budgets supplémentaires dans le cadre de futures discussions budgétaires", conclut le ministre Vandenbroucke.
En se rendant sur place, le ministre de la Santé publique a voulu témoigner son soutien aux équipes qui travaillent depuis trois semaines pour rétablir la situation au plus vite et discuter des plans d'avenir en matière de cybersécurité."Depuis le moment où l'attaque est intervenue, nous avons suivi la situation de près avec mes collaborateurs. Je tiens ici à féliciter les équipes de Vivalia qui ont travaillé jour et nuit pour que l'activité médicale puisse reprendre graduellement dans les meilleurs délais. En discutant aujourd'hui avec la direction, j'ai pu me rendre compte encore mieux de l'ampleur de la tâche et de la solidarité qui s'est directement mise en place au sein de l'hôpital, mais aussi entre hôpitaux ayant déjà été touchés par une cyberattaque", commente Frank Vandenbroucke. "En tant que ministre de la Santé publique, j'ai vraiment été touché par ce que j'ai entendu hier soir", ajoute le dirigeant du Vooruit. "Aujourd'hui, c'est Vivalia qui est frappé de plein fouet, ses patients, ses prestataires indépendants et son personnel pris en otage. Demain, cela sera peut-être un autre hôpital. Nous tenons à rassurer le personnel de Vivalia que nous planchons sur des actions concrètes qui pourront être utiles à l'ensemble du secteur, comme le partage d'expériences, le renforcement de la conscientisation à la cybersécurité, ... L'idée étant d'en sortir ensemble plus forts".Le ministre a rappelé aux dirigeants de Vivalia que la cybersécurité est une priorité inscrite dans l'accord de gouvernement et qu'il a dégagé des budgets supplémentaires (20 millions d'euros en 2022-2023) pour lutter contre la piraterie informatique. Les fédérations Santhea et Gibbis estime que ce budget, insuffisant, devrait être prévu de façon structurelle pour soutenir les hôpitaux. "L'importance de la cybersécurité n'est pas neuve, mais elle ne fait que croître. Dans mon département, il en va de la sécurité des hôpitaux, du personnel, des patients et de la continuité des soins ainsi que du respect de leur vie privée. Par ailleurs, j'espère pouvoir dégager des budgets supplémentaires dans le cadre de futures discussions budgétaires", conclut le ministre Vandenbroucke.