La cyberattaque menée contre Vivalia et plus globalement envers des institutions de soins, est particulièrement choquante. On se croirait revenu au temps où les diligences se faisaient arrêter et piller par des brigands. Les pirates des temps modernes semblent n'avoir aucun scrupule. Quid des opérations vitales reportées, des consultations postposées, des heures de travail supplémentaires pour les équipes mobilisées, de l'argent gaspillé à des tâches complexes qui auraient pu être évitées...?