La commission de la Santé de la Chambre a adopté mardi, en deuxième lecture, le projet de loi organisant les hôpitaux en un maximum de 25 réseaux à l'horizon 2020, 13 en Flandre, 8 en Wallonie et 4 à Bruxelles, avec au minimum un réseau pour 400.000 habitants.
Pierre angulaire de la réforme hospitalière, avec le financement standardisé, le projet de loi vise à rationaliser l'offre hospitalière en encourageant les collaborations. La réforme est justifiée par le fait que l'appareillage le plus complexe nécessite une utilisation intensive pour être efficace.
A l'avenir, chaque hôpital général fera partie d'un réseau clinique locorégional rencontrant l'ensemble des missions de soins spécialisés. Les soins les plus pointus, comme la chirurgie oncologique complexe ou la chirurgie cardiaque, ne seront pas disponibles dans chaque réseau hospitalier. Des règles de renvoi vers les différents points de référence seront nécessaires.
Les soins les moins complexes continueront à être pris en charge dans les établissements hospitaliers de proximité.
Pierre angulaire de la réforme hospitalière, avec le financement standardisé, le projet de loi vise à rationaliser l'offre hospitalière en encourageant les collaborations. La réforme est justifiée par le fait que l'appareillage le plus complexe nécessite une utilisation intensive pour être efficace. A l'avenir, chaque hôpital général fera partie d'un réseau clinique locorégional rencontrant l'ensemble des missions de soins spécialisés. Les soins les plus pointus, comme la chirurgie oncologique complexe ou la chirurgie cardiaque, ne seront pas disponibles dans chaque réseau hospitalier. Des règles de renvoi vers les différents points de référence seront nécessaires. Les soins les moins complexes continueront à être pris en charge dans les établissements hospitaliers de proximité.